Les Aventures De Dje Ep 83 : Ils Etaient Deux
LES AVENTURES DE DJE
Ep 83 : ILS ETAIENT DEUX
Bastien n'était pas venu seul, il avait emmené avec lui un camarade. Logan était un peu plus petit mais plus trapu, plus large d'épaule. Il était bien foutu lui aussi, ils avaient tous les deux un large sourire et un petit regard vicieux, comme je les aime.
Bas : Je te présente Logan, un collègue. Il ne travaillait pas ce soir, je l'ai invité à me suivre. Ça ne te dérange pas ?
Moi : Non pas du tout !
Ils échangeaient un regard complice.
Bas : Relève toi, et montre à mon pote le truc que tu portes, il n'en a jamais vu.
Log : Si j'en ai vu mais uniquement en photo.
Je me relevais et leur faisait face. Je remarquais tout de suite une belle bosse qui se formait entre leurs jambes, ils avaient tous les deux la même réaction. Logan me regardait avec insistance, son regard s'attardait sur ma cage de chasteté et en même temps il se tripotait la queue à travers sont pantalon.
Bastien le poussait vers moi, il hésitait, je faisais le premier pas. Je lui retirait son T-shirt, et ne me privais pas de regarder à mon tour son torse, il était bien bâti, bien carré, bien musclé. Il était tout à fait à mon goût. Je passais une main sur un téton puis je laissais ma main descendre le long de son torse. Il me caressait le bras.
Quand j'arrivais à sa ceinture, avec les deux mains je l'ouvrais, déboutonnais sa braguette et laissait tomber son pantalon sur ses chevilles, il me laissait faire avec un large sourire, il n'avait pas de sous vêtements ( tien je ne suis pas le seul à voyager léger ) sa queue se redressait avec vigueur, il était bien monté, mieux que Bastien, qui pourtant n'était pas ridicule. Sans être un géant, il était bien monté.
Au moment ou je me penchais vers lui il me caressait la joue avec une douceur, il était superbe, il était doux, j'étais sous le charme. Je n'avais plus qu'une envie
Lui sucer la queue pour commencer et c'est ce que je faisais.
Il était circoncis et c'était un plaisir à voir, je passais ma langue sur son gland, juste sur le bout de son gland en insistant, comme si je voulais rentrer ma langue dans son urètre. Il réagissait vite, je le sentais frémir, il aimait ça. C'est vrai que j'ai de lentraînement et que je fais ça très bien. J'ai jamais eu de réclamations.
Avec ses deux mains il me caressait les joues ou les cheveux, doucement il passait une main sur ma nuque, il n'osait pas appuyer sur ma tête. Ce n'était pas le cas de Bastien qui lui montrait, je sentais sa main appuyer fortement sur ma tête, il appuyait fort d'un geste rapide et avant que j'ai le temps de réagir, mon visage s'écrasait sur le ventre de Logan. Je sentais sa queue s'enfoncer bien à fond dans ma gorge.
Bastien avait retiré ses vêtements, et Logan avait repoussé du pied son pantalon. Je continuais à le sucer, j'avançais mon visage contre son ventre, sa queue s'enfonçait puis je relevais la tête, elle ressortait. Par moment je me retirait complètement et lui suçais les couilles.
C'est à ce moment que Bastien en profitait pour prendre la place de Logan, et enfoncer doucement sa queue dans ma gorge. Je ne résistait pas, il était un peu plus petit et ça passait plus facilement, il appuyait un peu plus sur ma tête que son copain mais ce n'était pas une brute, il me guidait plus qu'il ne me contraignait. Si j'offrais la moindre résistance il n'insistait pas.
Ils faisaient tous les deux preuve de beaucoup de douceur et de tendresse.
Ce jeux devait durer un long moment, je n'avais pas de montre, le soleil éclairait encore, il n'était pas encore descendu derrière les arbres. La queue de Logan s'enfonçait dans ma gorge puis en ressortait, ensuite c'était la queue de Bastien qui prenait le même chemin.
Ils me massaient les épaules avec force et douceur, une main descendait sur mes omoplates, sur mon dos puis me caressait les cotes. L'un guidait ma tête et enfonçait sa queue dans ma bouche, l'autre me caressait le corps.
Les caresses sur mon corps descendaient sur mes reins, sur mon ventre puis la main devenait plus entreprenante et se glissait entre mes cuisses. L'un m'enfonçait sa queue dans la gorge, l'autre me massait les couilles et me glissait un doigt entre les fesses avec insistance. Ils n'étaient pas pressés de conclure, de nouveau ils échangeaient leurs positions.
Ma queue protestait dans sa cage mais je n'y faisait plus attention. Je passait moi aussi mes mains sur les cuisses de mes partenaires, je leur caressait les fesses, les cuisses, je leur massais les couilles, je leur gobais les couilles. Ils frémissaient entre mes mains. J'aime bien sentir un homme trembler de plaisir dans mes bras.
C'est Bastien qui commençait en premier, je le sentait me saisir au niveau du bassin. Logan s'asseyait sur le rocher et Bastien me guidait, il m'écartait les jambes, je me retrouvais à genoux, il me glissait son pantalon sous les genoux pour que je sois à mon aise ( ils ne sont pas mignons ces deux là ? ) puis il prenait position derrière moi. Je sentais aussitôt un forte pression contre mon anus.
Je ne résistais pas, bien au contraire. Logan ne bougeait plus, je devinais qu'il regardait faire son camarade et devait être impressionné. Je sentais mon anus se détendre, se dilater. Je sentais la queue de Bastien passer la première frontière, mon premier muscle anal. C'était terriblement bon. Ensuite la queue de Bastien glissait contre les parois internes de mon cul, lentement mais fermement, une forte pression s'exerçait contre ma prostate. Ma queue se contractait, ma cage de chasteté semblait minuscule, ma queue était sous pression et elle se révoltait, j'éjaculais et je jouissais en même temps. J'avais le souffle court surtout que j'avais du mal à respirer.
Le bassin de Bastien frappait contre mes fesses, je gémissais, enfin je faisais des bruits bizarres avec la queue de Logan dans la bouche.
Logan : La vache, il a l'air d'aimer ça !
Bastien : J'ai l'impression aussi.
Bastien se retirait, mais pas complètement. Il faisait tout d'abord une pause puis revenait d'un mouvement rapide, enfonçait de nouveau sa queue bien à fond et son ventre frappait de nouveau contre mes fesses. Il appuyait alors de toutes ses forces, de tout son poids. Il se retirait puis commençait des mouvements de va et vient. Lentement au départ les mouvements devenaient plus rapides, toujours très amples mais rapide. Quand il faisait une pause c'était pour rajouter une bonne dose de gel lubrifiant, il reprenait ensuite avec des mouvements très rapides.
Je jouissais de nouveau, j'avais l'impression d'éjaculer mais en fait je ne savais plus si je pissais ou si je jutais. Ma prostate paniquait et me donnait des sensations contradictoires. Je ne savais plus ce qui se passait dans ma cage de chasteté, tout ce que je sais c'est que c'était bon, intense mais bon.
Les coups devenaient violents quand j'entendais Bastien gémir et râler de plaisir. Il jouissait dans mon cul, il jutais et j'en faisais de même. Ce n'était pas comme on éjacule ou la sensation ne dure que quelques instants, là ça durait dans le temps.
Bastien ne bougeait plus. Logan lâchait ma tête, en fait il ne la retenait pas vraiment, il avait seulement les mains posées sur ma nuque et mes cheveux, juste posées. Mais quand il les retirait je relevais la tête, mon souffle était fort et irrégulier. Dans mon cul je sentais comme un grand vide, un vide jouissif, toujours cette sensation de plaisir.
Logan : Moi j'aimerais
Bastien : Oui vas y ! Exprime toi !
Logan : Pas comme ça mais
Il n'osait pas terminer sa phrase.
Logan : Face à face
Je me retournais sur le dos, j'écartais puis relevais les jambes. Je voyais un sourire sur le visage de Logan.
Logan : Comme ça je peux ?
Bastien ne me laissait pas le temps de répondre.
Bastien : Vas y je te dis, c'est toi qui dirige. Si ça ne lui plaît pas il te le dira.
Logan se penchait alors sur moi, posait mes chevilles sur ses épaules, s'appuyait en repliant mes jambes contre mon corps. En même temps il enfonçait en un mouvement rapide sa queue jusqu'à la garde.
Je râlais de plaisir. C'était bon, de nouveau j'avais l'impression de juter mais en relevant la tête je pouvais constater que de ce côté rien ne se passait. Ma queue remplissait bien ma cage à bite mais je ne sentais plus cette pression. Ma queue était bien gonflée, bien grosse, mais molle.
Logan avait peut être été un peu timide au début mais la il se lâchait. Sa queue était bien large et belle taille, pas géante mais bien grasse tout de même. La taille idéale. Il me burinait à son tout le cul. Souvent il ressortait complètement, quelquefois il rajoutait une dose de gel et revenait d'un geste rapide et violent.
Je râlais de plaisir, j'en redemandais, c'était le pied. Et j'avais toujours cette sensation de plaisir au niveau de mon urètre, un peu comme quand on éjacule, même si rien ne ressortait, même si là rien ne se passait. Tout mon corps tremblait, je manquais d'air, mon souffle était irrégulier. Et quand Logan s'écroulait sur moi dans un cris de plaisir, il lâchait mes jambes, je les refermais alors dans son dos, le prenais dans mes bras et le retenais contre moi. A nouveau je jouissais et mes gémissements de plaisir ressemblaient à des sanglots.
On restait là encore quelques instants sans bouger, le soleil avait disparu derrière les arbres à l'autre bout de l'île. Logan se relevait, me tendait la main et m'aidait à me relever, il avait un petit sourire un peu malicieux mais ravis. On allait prendre un bain entre les rocher, je me sentais bien, terriblement bien.
Le soleil était couché quand j'arrivais à ma cabane, mes camarades commençaient presque à s'inquiéter. Je les rassurais en leur disant que le coucher du soleil était magnifique
Le lendemain matin j'étais en forme, en pleine forme. Je me sentais bien, et je faisais comme tout le monde. Ils se levaient tous comme des furies couraient sur la plage en faisant beaucoup de bruit et couraient vers le réfectoire pour prendre le petit déjeuner. Mes camarades de chambre ( enfin de cabane ) n'en revenaient pas de me voir aussi détendu.
Je me sentais libre, comblé, heureux !
Deux jours plus tard je revoyais Logan, il est mignon Logan
On partageait encore un moment de plaisir, un moment intense. Le petit malin avait réussi à retardé le départ du bateau pour qu'il n'ai pas le temps de décharger et de ranger l'approvisionnement le soir même. Ce qui l'obligeait à passer la nuit sur l'île. C'était prémédité ! Le bateau était donc déchargé à la va-vite et Logan était donc condamné par le capitaine du bateau à rester sur place pour ranger tout proprement.
La première semaine sur cette île se terminait, j'avais participé à toutes les activités excepté la plongée avec bouteille. J'étais à table avec mes camarades quand on m'appelait au téléphone. C'était Bob, il avait une voix fatiguée le pauvre.
Bob : Salut Djé, ça va
Moi : Oui moi ça va mais toi tu as une toute petit voix ! Tu as un problème !
Bob : Non, ça va mais je te téléphone pour te demander si tu veux bien me prêter ta voiture
Moi : Il y a un problème ?
Bob : Non je te dis mais
C'est Luc
Moi : Luc ? Tu m'inquiètes.
Bob : Il ne faut pas t'inquiéter, simplement il travaille comme un fou et il me fait travailler plus de quinze heures pas jour. J'en peux plus ! Je suis en fac moi, et c'est déjà du boulot. Je suis en vacance et j'ai besoin de me reposer
Moi : Et tu as besoin de ma voiture ?
Bob : Oui je voudrais partir faire une petit voyage, c'est le seul moyen que j'ai pour pouvoir me reposer.
Moi : Pas de problème tu peux prendre ma voiture.
Bob : Merci, c'est sympa. Je vais confirmer à Charles que tu es d'accord.
Moi : Tu veux que je le lui confirme ?
Bob : Non, il n'est pas là pour le moment. Il ne voulait pas me donner les clés sans ton autorisation, mais il me croira
Moi : Tu es sûr ?
Bob : Tu crois que je suis de taille à lui mentir ?
Moi : ( Je rigolais à la réplique ) C'est vrai que si tu essayes de mentir tu deviens tout rouge toi.
Quand on avait fait sa connaissance Bob n'arrêtait pas de changer de couleur, si on lui faisait peur il devenait tout blanc et s'il était embarrassé il devenait tout rouge
C'était rigolo je ne dis pas mais heureusement ça a fini par lui passer. Par contre s'il essayait de nous raconter des histoires ou de nous cacher quelque chose ça recommençait. Charles le savait très bien, de plus c'est un garçon adorable et on lui faisait confiance.
On continuait à discuter un long moment ensemble, et on se disait que finalement il aurait mieux fait de venir avec moi, ici on s'amusait. Ici on était vraiment en vacances. Je ne lui parlais pas des rencontres que j'avais fait.
Je lui demandais bien sûr comment il s'adaptait avec son dispositif de chasteté.
Bob : Bon c'est un peu galère, mais ça va !
Moi : Tu verras, on s'y fait, on devient même accro à ce truc. A la fin de l'année en cours tu ne voudras plus le retirer.
Bob : Alors là ça m'étonnerais ! Je le sens tout le temps ce truc, c'est vrai ça ne fait pas mal mais
J'aimerais bien pouvoir tirer mon coup de temps en temps moi. Enfin, ça marche quand même
Il me remerciait encore pour la voiture et je retrouvais mes camarades.
Moi : C'était Bob, il parait que Luc est devenu une bête de travail.
Antoine : Je te rappelle qu'il pouvait sauter sa dernière année de lycée, et avoir ainsi un an d'avance
Il a toujours beaucoup travaillé, il n'en a pas l'air c'est tout, quand on le voit on voit surtout un petit guignol mais c'est un petit guignol qui bosse dur !
Moi : C'est vrai
Antoine : Et il travaille sur quoi en ce moment ?
Moi : Une nouvelle émission de télé qu'il veut superviser, il est aussi depuis peu chroniqueur dans une revue, je ne sais plus trop laquelle mais c'est toujours sur le même thème, l'orientation dans les études
Le monde du sport
Antoine : Mais il n'arrête pas !
Luc avait déjà une émission qu'il animait en directe par semaine et quatre émission qu'il réalisait et animait
Maintenant il rajoutait un travail de chroniqueur ! C'est vrai que mon petit frère à l'air d'un guignol mais c'est un guignol qui travaille dur.
En attendant moi j'étais en vacances. Il me restait encore une semaine et j'avais bien l'intention d'en profiter.
Dans les jours qui suivaient on faisait une balade en bateau à fond vitré, on pouvait admirer le fond du lagon en restant bien au sec, c'était superbe. Pendant toute cette petite croisière je n'avais que le visage de Bastien ou de Logan devant les yeux, on m'a dit qu'il avait des poissons
Moi j'ai rien vu !
Ils ne m'ont pas dit quand ils reviendraient, trois jours peut être, Bastien était passé trois jours plus tôt
Quand il est repassé il avait emmené un copain. Ils seront peut être trois la prochaine fois, avec un peu de chance.
Mes camarades me trouvaient étranges par moment, je disparaissait tous les soir et revenait juste après le coucher du soleil. Ils ne se posaient pas vraiment de questions, ils pensaient que j'avais envie de me retrouver seul un moment. Il est vrai que dans la journée on était toujours en groupe.
Je passais tous les soirs vers l'embarcadère mais le bateau passait désormais le matin et je ne voyais personne
Pas de Bastien, pas de Logan.
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter
@CharlyChast
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